Pour ceux qui aiment les romances fleuves (avec beaucoup d’eau de rose) et les sagas familiales.
Greta est de retour dans la magnifique demeure élisabéthaine de Marchmont Hall, au pays de galles. c’est là qu’elle a vécu des événements parmi les plus importants de sa vie.
Pourtant elle n’en a aucun souvenir. Suite à un grave accident, survenu près de vingt ans plus tôt, Greta a complètement perdu la mémoire.
Ce retour à Marchmont Hall, organisé par son grand ami David Marchmont, va-t-il lui permettre de retrouver ses souvenirs ?
Lucinda Riley est très connue et appréciée par de nombreux lecteurs (lectrices).
Pour ma part l’ange de Marchmont Hall est le premier roman que je lis d’elle et je dois reconnaître qu’il ne m’a pas convaincu.
C’est un roman qui se lit assez aisément et je suis me suis laissé porter jusqu’au bout de ces 700 pages. Pourtant je reste avec un sentiment à la fois de trop et de trop peu. Trop de rebondissements, trop de personnages.
Les personnages de Lucinda Riley sont pour la plupart soit insignifiants soit stéréotypés.
Certains d’entre eux semblent n’être que les alibis d’un énième rebondissement.
Lucinda Riley nous raconte la vie d’une femme depuis son enfance jusqu’à ses soixante ans mais j’ai refermé le livre en ayant le sentiment de ne pas connaitre Greta. Je n’ai pas ressenti ses peines et ses tourments. Elle reste une étrangère.
Bref un roman qui n’était pas pour moi.
Titre original : The Angel tree
Traduction (Anglais): Marie-Axelle de La Rochefoucauld
Première édition : 17/11/2017
Collection : Charleston poche (novembre 2018)
Pages : 700